Un collaborateur occupe une place importante dans une entreprise, c’est l’un des éléments-clés qui influencent positivement ou négativement les résultats de l’entreprise, l’environnement de collaboration, la réussite des projets et bien plus!
Très souvent, un collaborateur est formé sur l’aspect technique de son travail mais jamais sur son état d’esprit (que ce soit en école ou en entreprise). En effet, l’état d’esprit fait partie des sujets tabous qui ne se discutent jamais sauf dans les cas extrêmes (où le collaborateur devient un élément toxique ou fait un burn-out).
Par exemple : imaginez deux individus A et B qui ont les mêmes aptitudes techniques mais « A » a confiance en lui et « B » n’en a aucune. Quel serait le résultat de leur collaboration? Évident non?
Par « état d’esprit », on parle de mental et d’intelligence émotionnelle, ils peuvent être des accélérateurs ou des freins à la réussite. L’état d’esprit ne ne s’acquièrent qu’à travers un travail sur soi-même. Ce travail est très peu effectué par l’initiative d’un collaborateur car, comme tout le monde, lui aussi il ignore cet aspect! Un leader en entreprise qui est conscient de cet enjeu et peut aider son collaborateur à travailler sur lui-même à travers un coaching pour avoir un rapport gagnant-gagnant.
"Un collaborateur heureux au travail est un collaborateur fiable, loyal et productif"
Permettre à son collaborateur d’être heureux n’est pas un langage bisounours! En observant les gens qui vont au travail le matin, on se rend compte à quel point ils ont mauvaise mine et on s’interroge sur l’efficacité qu’ils vont avoir au travail. En effet, pour un individu être heureux dans son entreprise est primordial vu qu’il passe la majorité de son temps d’éveil au sein de l’entreprise, il a besoin d’être souvent dans un état d’esprit positif et congruent avec les valeurs de l’entreprise.
Pas besoin qu’un collaborateur soit dans une situation critique pour déclencher le processus de coaching. Privilégiez toujours la prévention pour éviter que ça ne soit trop tard où que le collaborateur décide de vous dire poliment « qu’il veut voir d’autres horizons ». La fuite des talents est malheureusement monnaie courante en entreprise. Le problème avec cela est que l’investissement que vous avez consacré en temps et en formations techniques de votre collaborateur ne sert plus à votre entreprise et bien pire, si le collaborateur est un référent, une grande partie intellectuelle et structurale va s’évaporer. Coacher son collaborateur est un processus gagnant-gagnant qui lui permettra :
Un collaborateur peut être coaché sur divers aspects, il n’y a pas de liste exhaustive car pendant le coaching, quel que soit l’objectif, le coaché aura l’occasion de prendre conscience de ce qui le bloque dans son avancement et fera en sorte de le corriger avec son coach. Voici quelques exemples d’objectifs de coaching:
En effet, une équipe en entreprise est comme une famille dans un foyer, elle a besoin d’être soudée, de s’entre-aider et de partager les mêmes valeurs.
Il existe de nombreuses solutions pour améliorer l’écosystème d’une équipe. Parmi ces solutions il y a le co-développement qui consiste à faire évoluer son équipe grâce à l’intelligence collective et la bienveillance du groupe. Il s’agit de sessions de 2h à 4h une fois par mois dans lesquelles toute l’équipe aide un collaborateur par session à débloquer une situation complexe et de le sortir enrichi de solutions à mettre en place.
Il n’y a pas de situation spécifique pour déclencher ce processus, c’est parfois à travers l’observation qu’on peut ressentir la nécessité d’un co-développement. En effet, Les éléments d’une équipe constituent un système, pour que ce dernier soit productif et qualitatif il doit être fiable et performant. Quand un élément du système souffre, c’est tout le système qui va en souffrir. Le co-développement peut être déclenché dans ce cas-là. Le co-développement peut aussi être déclenché en prévention ou en amélioration de performance afin de :
Même si les méthodes de gestion de projets traditionnelles ont contribué au développement des entreprises, elles demeurent pleines de points faibles qui influencent la qualité du service rendu et les recettes de l’entreprise.
Ces méthodes conduisent souvent à la naissance d’hiérarchie rigide qui déresponsabilise les collaborateurs et les enferme dans de nombreuses procédures stériles et énergivores (ce qui n’est pas du tout dans l’intérêt de l’entreprise).
Le vrai problème d’un leader avec ces anciennes méthodes est la baisse de productivité. En effet une perte de temps et de budget colossale survient souvent en raison des corrections demandées par le client (liées à la divergence entre son attente et le résultat fourni). Ces corrections peuvent être évitées avec les nouvelles méthodes AGILES qui impliquent le client dans tout le processus de développement pour éviter l’effet tunnel noir.
Mettre en place une gestion de projets AGILE est également efficace pour responsabiliser les collaborateurs et favoriser le travail en équipe. Cette méthode américaine appelée « SCRUM » a prouvé son efficacité dans de nombreux domaines, elle offre l’avantage de:
Le management traditionnel qui consiste à affecter un lot de tâches aux équipes (et dont la performance est évaluée uniquement en se basant sur les résultats nets) est souvent contre-productif. Si un problème survient, certains managers vont être inconsciemment dans une posture de jugement (direct ou indirect), ils emploient un langage du « Tu qui tue » en utilisant des « pourquoi tu… », » tu aurais du … », « tu aurais pu … » et prêtent peu d’attentions aux messages du collaborateur (le dit, le signifié, le langage non-verbal etc.).
Face à cela le collaborateur se sentira frustré et agira dans les meilleurs des cas par crainte que par détermination. Dans les pires des cas, le collaborateur se séparera de l’entreprise en raison du stress récurrent.
En effet, « On devient manager, on ne se forme pas pour le devenir » c’est pour cette raison que la tâche de management est compliquée et floue. À part le reporting, le manager est en effet la référence de l’équipe, le manager doit avoir la capacité d’écoute active pour mieux comprendre son collaborateur et le débloquer. Il doit être dans une posture basse (une posture d’écoute attentive et de compréhension) pour l’aider à gravir les échelons. Très simplement, le manager est le maître de stratégie de la collaboration ; il met en place les bonnes personnes au bon endroit, il mise sur les qualités de chacun pour développer son équipe et leur environnement.
Dans les sessions de coaching nous serons amenés à identifier la stratégie de management actuelle, ses points forts et les points de vigilance. Nous mettrons en place des réflexions en vue d’améliorer la stratégie de management ou le manager.
Le manager sera amené à travailler sur l’amélioration de son service à travers des plans d’action qu’il va identifier en se basant sur ce qui aiderait son équipe et ce qui reflète les valeurs de l’entreprise.
Il est possible de travailler sur divers objectifs selon le besoin, par exemple :
Aidez votre collaborateur à maintenir son équilibre pro-perso et à être efficace face aux défis de l'entreprise et leurs complexités.
Aidez le manager dans sa prise de poste pour apprendre à gérer son équipe et savoir quand utiliser une posture basse et quand utiliser une posture haute.
Former les managers à coacher leurs équipes grâce aux méthodes d'écoute active et de compréhension active.
Apprenez à mettre en place un plan d'action et à le déléguer en posture haute avec bienveillance et sans autoritarisme.
Développez vos équipes grâce à ce processus qui favorise l'entraide, la résolution des points bloquants et l'intelligence collective.
Adopter les méthodes agiles pour améliorer la productivité d'une équipe et sa qualité en évitant l'émergence de processus rigides et stériles.
J’ai eu l’occasion de travailler sur des projets de grande envergure où j’ai pu observer de prés et de loin ce qui améliore et ce qui fait obstacle à la productivité, Je sortais à chaque fois avec plein d’interrogations qui ont occupé mon esprit et qui m’ont poussé à identifier ce qui nous limitait réellement.
J’ai eu l’occasion d’apprendre beaucoup de méthodes à travers des lectures et des formations sur la psychologie, l’entreprenariat, le marketing et plus… J’ai été formé à l’ingénierie, au coaching et à divers métiers d’entrepreneur pour obtenir des réponses. J’ai eu la chance d’apprendre auprès des meilleurs les stratégies et techniques pour comprendre le fonctionnement de l’humain et des organisations pour mieux les servir et j’ai fini par comprendre que nous sommes nos propres limites et nos propres propulseurs et qu’il faut agir sur notre psychologie pour atteindre ce qu’on espère avoir.
La simplicité est parfois la meilleure option! Certains processus rigides et complexes n’ont pas lieu d’être dans une entreprise, ils sont la raison de la dégradation de la qualité, la déresponsabilisation des collaborateurs et l’émergence d’un environnement toxique au travail. La complexité rend l’évolution et le changement positif presque impossibles. L’entreprise doit recadrer ses activités en fonction des objectifs (lucratifs, vision, résultats…) et non à travers des processus stériles et énergivores. Même si l’encadrement est souvent intéressant pour garder le cap, ça ne demeure pas utile tout le temps, en faire beaucoup peut tout simplement emprisonner la créativité et les chances d’évoluer!
Je tiens à contribuer auprès des entreprises qui impactent directement nos vies et qui sont nos moteurs économiques, écologiques et éthiques. Je crois en l’existence d’un environnement de travail propice à l’évolution de l’individu et il me tient à cœur d’améliorer la qualité de vie des collaborateurs et la productivité de l’entreprise pour un meilleur équilibre « WIN-WIN ».
Si vous avez un besoin précis, n'hésiter pas à nous le faire savoir!